Ça progresse lentement, mais ça progresse...

Vu sur :

Réclamée de longue date par la communauté camping-cariste, la réforme du permis autorisant la conduite d’un camping-car poids-lourd avec un simple permis B, dans la limite de 4250 kg de PTAC, est peut-être en bonne voie. C’est ce que laisse entendre le ministère de l’Intérieur dans une réponse envoyée à la FFCC.

Bonsoir J.Paul,
Quelques soient les désidératas de la FFCC ou de la FFACC, nous ne sommes guéres plus avancés ... souhaitons que cela aboutisse, même si ton avis personnel J.Paul, a tendance à penser que cela ne résoudra pas tout.
... wait end see !!!

C'est loin de résoudre le problème car:

• Premièrement, ça ne changera rien pour les CC homologués à 3,5 T.  Même si le permis autorise 4,25 T ces véhicules restent bridés à 3,5 T.
  
• Secondement, les constructeurs produiront des 4,25 T de PATC (c'est jamais que 750 Kg de plus) avec une tare de 3,85 T et une charge utile de 400 Kg sortie d'usine.  Quand les accessoires auront été rajoutés (panneaux solaires, auvent, etc) il ne restera au mieux que 300 Kg de charge utile.
  

Le problème restera entier.

Bonjour,

sérieux ça progresse? C'est juste le journaliste qui avait besoin de pondre un article qui l'écrit .

Perso moi je lis :  " .....que les autorités françaises vont examiner dans la perspective des travaux de révision de la directive ...."

autrement dit , le cabinet ministériel français n'a encore strictement rien et promet juste d'y regarder courant 2022.
2022 année des élections dans leur pays non? juste des paroles et des promesses de politiciens qui ne seront probablement plus en place au moment d'agir?  

et si seulement ils bougent en France alors seulement faudra attaquer l'Europe .

allez bonne route , et bonne St Nicolas

aircofrigo a écrit:

...et si seulement ils bougent en France alors seulement faudra attaquer l'Europe ...

C'est l'inverse, d'abord l'Europe puis la France.

Citation: M. De Bousquet confirme que le ministre, a bien pris connaissance de votre demande d'évolution de la directive européenne et des arguments développés à l'appui de celle-ci, arguments que les autorités françaises vont examiner dans la perspective des travaux de révision de la directive 2006/126/CE menés par la Commission européenne à compter de 2022.

Conclusion, ça avance mais c'est pas pour demain